photo Exposition de Benoît et Stephanie Cauchies

Exposition de Benoît et Stephanie Cauchies

Exposition, Patrimoine - Culture

Pléneuf-Val-André 22370

Du 21/07/2025 au 27/07/2025

Benoit Cauchies, autodidacte, a commencé à sculpter des personnages en pâte Cernit et en cire, avant de découvrir les figurines en plomb grâce aux jeux de rôles. Depuis 2012, il crée des oeuvres plus personnelles. Stéphanie Cauchies a découvert sa passion pour le modelage durant le confinement et n’a depuis cessé de créer des sculptures figuratives qui transmettent des émotions profondes. Ensemble, ils présentent une collection de sculptures en terre cuite, en bronze et en plâtres patinés représentant principalement le corps de la femme ainsi que des bustes d’hommes et de femmes.

photo Rencontre avec les jeunes volontaires

Rencontre avec les jeunes volontaires

Conférence - Débat

Saint-Laurent 22140

Le 07/08/2021

Cet été, une équipe de jeunes volontaires du Corps Européen de Solidarité sera logée au Palacret. Pendant qu’une partie des volontaires sera à Pontrieux pour rénover des lavoirs publics, les autres auront en charge l’organisation d’évènements au Palacret. Nous vous invitons à venir rencontrer les jeunes volontaires. De 12h à 14h : un repas type auberge espagnole (chacun(e) apporte un plat/ boisson à partager). De 14h à 19h : un temps convivial en famille à jouer à des jeux du monde ou juste à échanger avec les jeunes volontaires. Gratuit – tout public de 0 à 110 ans.

photo Empreinte du reste, volume du manque

Empreinte du reste, volume du manque

Nature - Environnement

Lannion 22300

Du 15/01/2022 au 26/03/2022

L’exposition Empreinte du reste, volume du manque rassemble une cinquantaine d’œuvres de Paul Pouvreau, datant de la fin des années 1990 à aujourd’hui, proposant à la fois un cheminement parmi les images et dans les images elles-mêmes. Grâce à ce large éventail de sa production, on perçoit de quelle manière l’artiste rejoue avec ses photographies certains genres majeurs de l’histoire de la peinture (la nature morte, le paysage) ou principes esthétiques de mouvements artistiques du XXe siècle (le pop art, l’art conceptuel). Il en donne des versions pour ainsi dire bricolées, sans être dans l’imitation ni la parodie. Que ce soit dans ses dessins – où il retravaille des pages de journaux et des dépliants publicitaires par remplissage – ou dans sa nouvelle série photographique où il transforme par des jeux d’échelle et de lumière des sacs plastiques en d’éloquents masques de tragédie grecque, c’est toujours le même plaisir de faire qui l’anime. C’est ce plaisir de la fabrication qui lui permet de donner corps à des pensées et des formes, aussi fragiles soient-elles en apparence.